Av's Power !

Rappel du premier message :

@adater: Avs sign Swiss League D-man Maxim Noreau to minor-league contract

Vokoun??Le gars a pas joué depuis 2 ans...

Pas faux

Et avec le jeu défensif extrêmement déficient, pas comme si on donnait une vraie chance aux deux kids...

En plus , nos options sont extrêmement limiter , on a pratiquement pas de place sur la masse et les candidats UFA disponibles n'ont pas de job pour rien ,Roy par contre est pas fou et est pas le genre à garder les 2 mains dans les poches , criss il a fallu qu'on perde nos 2 gardiens la veille du match contre le CH , pour Berra ça sent la commotion

@RadioMoser: Coach Roy say Berra will be evaluated more this aft & tomorrow morn & if he can't go, Pickard will get start.

@DSauve_rc: Patrick Roy est catégorique: pas question de faire appel à Martin Brodeur même si ses deux premiers gardiens sont blessés.#Col #Habs

Ca le mérite d'être clair

Reste plus qu'à souhaiter que la défensive apprenne par miracle à bien jouer...défensivement.

Ouin , cest croire un peu au miracle ça, la vérité ( selon moi ) c'est que outre Johnson ( qui prends beaucoup trop de chance en ce début de saison ) et Barrie les avs n'ont pas de defs de haut niveau , Stuart m'impressionne pas et les autres c'est des 5 et 6e defs , certain soir un gars comme Hejda ou Holden nous en donne plus mais c'est pas constant , en espérant que le top 6 nous en donnes plus que prévue et que les Siemens et Barrie se développe bien pour le futur

BROSSARD | Patrick Roy a rapidement écarté deux hypothèses : il ne tentera pas un retour devant le filet à l’âge de 49 ans et il ne lancera pas une perche à Martin Brodeur.

L’Avalanche du Colorado se retrouve devant une situation assez inusitée. Avec les blessures à Semyon Varlamov et Reto Berra, l’Avalanche mise maintenant sur deux jeunes gardiens en Calvin Pickard et Sami Aittokallio. Au total, les deux hommes masqués de 22 ans ont une minime expérience de 146 minutes dans la LNH !

Questionné sur l’inexpérience de ses gardiens, Roy ne ressemblait pas à un entraîneur au bord de la panique. Il a surtout fait rire les journalistes en écartant la folle possibilité d’un retour au jeu.

« Je ne suis pas sûr qu’il s’agirait d’une bonne idée, a-t-il dit. Ça serait toutefois bon pour ma perte de poids. Je serais serré dans mon masque. J’ai encore mon vieux stock, mais il y a pas mal de poussières dessus. »

Aucun appel

Il y a une autre certitude. La ville de Denver ne servira pas de terre d’accueil pour Brodeur. Toujours à la recherche d’un contrat, le roi des victoires (688) et des jeux blancs (124) dans la LNH ne recevra pas un appel de Roy ou de Joe Sakic, le directeur général de l’Avalanche.

« Non, il ne s’agit pas d’une option, a clairement répondu l’ancien numéro 33. On est très heureux avec nos gardiens. C’est une malchance de perdre deux gardiens en peu de temps. Je ne me rappelle pas d’une telle situation. »

« Ça fait malheureusement partie de l’adversité qu’on peut vivre dans une saison, a-t-il poursuivi. On voit ça comme une opportunité pour bien évaluer nos jeunes gardiens. Ils ont une chance d’apprendre leur métier dans la LNH. On ne voit pas ça d’une façon négative et on ne panique pas. »

En matière d’expérience, Brodeur possède toutefois un bagage nettement plus imposant que Pickard (57 minutes) et Aittokallio (89 minutes). En 1259 matchs dans la grande ligue, le vétéran de 42 ans a passé 74 083 minutes sur la glace…

De Clevaland, à Chicago, à Ottawa

Pickard, un choix de 2e tour de l’organisation en 2010, a fait ses premiers pas dans la grande ligue contre les Sénateurs, jeudi, à Ottawa. Rappelé par l’équipe le matin même du match, il a remplacé Reto Berra dès le début de la première période.

« J’ai fait un premier voyage très tôt jeudi matin entre Cleveland et Chicago, a expliqué Pickard. En théorie, je devais jouer avec les Monsters de Lake Erie, mon équipe dans la Ligue américaine, contre les Wolves de Chicago. À l’arrivée de l’équipe là-bas, j’ai reçu un appel de l’Avalanche. Ils m’ont demandé de sauter dans un avion en direction d’Ottawa. J’ai donc pris un vol direct Chicago-Ottawa. »

« Je suis arrivée à Ottawa seulement deux heures avant le match. Et quelques minutes plus tard, je sautais sur la glace pour remplacer Reto. Mon père n’a même pas regardé mon premier match dans la LNH puisque je ne devais pas jouer. »

Pour ses débuts, Pickard a accordé quatre buts dans un revers de 5-3 de l’Avalanche contre les Sénateurs.

« Quand tu réfléchis à sa situation, tu réalises rapidement qu’il ne s’agissait pas d’un scénario idéal pour lui », a mentionné Roy.

Une deuxième chance?

L’Avalanche a perdu ses deux premiers gardiens lors de la même journée. En matinée, Varlamov s’est étiré l’aine et Berra a subi une blessure au cou dès la troisième minute du match contre les Sénateurs.

Placé sur la liste des blessés, Varlamov s’absentera pour un minimum d’une semaine. Dans le cas de Berra, son cas sera évalué sur une base quotidienne. Le gardien suisse n’a toutefois pas participé à l’entraînement de l’Avalanche, vendredi.

« Si Reto ne peut pas jouer contre le Canadien, nous ferons confiance à Pickard, a confirmé Roy. J’ai eu une petite discussion avec Calvin ce matin. Je voulais savoir comment il se sentait et s’il était prêt pour le match face à Montréal. Je cherchais à voir dans ses yeux si je pouvais sentir une certaine nervosité. Il a joué un match préparatoire à domicile contre Anaheim et il a joué contre Ottawa. Il a maintenant un meilleur bagage d’expérience. »

Patrick Roy l’avait prédit lors du passage de l’Avalanche à Montréal et à Québec pour deux matchs préparatoires.

Malgré les succès de l’équipe l’an dernier, l’Avalanche devait rester humble.

La formation du Colorado a toutes les raisons de garder les deux pieds sur terre en ce début de saison avec un dossier peu reluisant d’une victoire, trois défaites et un revers en prolongation.

Malgré la présence de gros canons comme Nathan MacKinnon, Matt Duchene, Gabriel Landeskog, Jarome Iginla et Ryan O’Reilly, l’Avalanche n’a marqué que sept buts à ses cinq premiers matchs. Sur le plan défensif, c’est tout aussi inquiétant avec 17 buts accordés.


Après un entraînement de près de 60 minutes à la veille du match contre le Canadien à Montréal, MacKinnon et Iginla ont cherché à calmer la tempête.

«Il y a plus d’adversité cette année, mais on n’a joué que cinq matchs», a rappelé vendredi MacKinnon, qui mène l’équipe avec trois points.

«Cinq parties représentent un trop petit échantillon pour s’inquiéter, a renchéri Iginla. Il n’y a pas de vague de panique. On peut s’améliorer, et on le fait déjà.»

Une cible de choix

À sa première campagne derrière le banc de l’Avalanche, Roy avait connu un départ magique l’an dernier. La formation avait remporté ses six premiers duels et n’avait qu’une seule défaite après 13 rencontres.

Le scénario n’est absolument pas le même cette saison.

«Les équipes sont plus prêtes à nous affronter, a dit MacKinnon. On a probablement un peu plus une cible dans le dos. L’an passé, on a pris la ligue par surprise. Pour gagner, on devra être bons tous les soirs.»

Trop de rencontres préparatoires

À l’image de ses deux attaquants, Roy n’a pas dressé un portrait trop sombre du début de saison de son équipe.

«On a été horrible à notre premier match, on ne peut pas s’en cacher, a-t-il répondu. Mais, depuis notre deuxième match, on joue du bon hockey. Les gars apprennent tranquillement de nos erreurs, mais souvent, il s’agit de la meilleure manière.»

«Les gars réagissent très bien, a-t-il enchaîné. On est une équipe qui se tient. Pour moi, c’est important. Les gars croient aussi en ce qu’on fait. On sait qu’on a une bonne équipe, mais il nous manque des éléments importants avec John Mitchell, Jesse Winchester et Patrick Bordeleau sur la liste des blessés. En plus de Semyon Varlamov dernièrement. Ça cause des maux de tête aux entraîneurs. On profitera de cette période pour évaluer de jeunes joueurs.»

Sans chercher une excuse, Roy a identifié une cause possible pour ce faux départ.

«Personnellement, j’ai un regret. On a joué trop de matchs préparatoires avec huit. Pour une équipe qui voyage beaucoup, possiblement le plus dans la LNH, on jouera maintenant six matchs à la place de huit à partir de la saison prochaine. On n’a pas assez eu d’entraînements.»

avsmaniac a écrit:Reste plus qu'à souhaiter que la défensive apprenne par miracle à bien jouer...défensivement.

La défensive du CH joue aussi très mal depuis le début de la saison....j'ai l'impression qu'on va avoir un match ouvert d'aplomb demain soir.

Peut être mais vous vous allez avoir Price dans les buts tandis que nous on risque d'avoir un goaler de la LAH qui avec ca performance d'hier doit pas avoir un niveau de confiance élever , espérons malgrer tout un bon spectacle avec du jeux ouvert et de bonne mise en échec avec " bien sur " une victoire des avs

eeee tu veux dire " bien-sure" une victoire du CH lolllll

Demain ce qui sera intéressant d'observer ce sera les rendements de Parenteau et Brière face à leurs anciens clubs.

Perso je souhaite une victoire du CH mais avec une solide performance offensive de Duchene et Landerskog que j'ai réussi à avoir dans mon pool de bureau ( y'en a un .... qui m'a volé Mackinnon lol )

Brière versus Parenteau ça sera toujours Parenteau le meilleur , pas du tout impressionner par Brière , par contre il peut scorer le " gros " but important en fin de partie ou en prolo de même qu'en série son historique est une bonne preuve , par contre ses chances de jouer sur les 2 premiers trios à moins de plusieurs blessures sont nul tandis que Parenteau joue sur un gros trios pour le CH ,

c'est évident pour moi que Parenteau va connaître une meilleur saison offensive que Brière , Roy voulait pu rien savoir de Parenteau pour les raisons qu'on sait , vite de même je trouve le trade comme un non sens mais dû qu'il vient de Roy et qu'il ma sortie des bas fond et donner une saison de 112 points avec un jack Adams pas le choix de lui donner le bénéfice du doute et lui faire confiance , à date pratiquement tout les moves de Roy ont été payant pour nous , on va voir la suite des choses , Go avs Go

Tu comprends pas ce que je veux dire black. Il est vrai comme tu le dis que Parenteau va faire + de points que Brière cette saison mais moi je ne veux parler que du comparatif pour le match de demain soir alors que les deux joueurs voudront faire voir à leurs anciens coachs qu'ils auraient dû leur faire + confiance l'an passé.

Ta pas tort , c'est vrai qu'il vont vouloir " prouver " certaine chose à leurs ancien coach , par contre Parenteau en jouant sur un trios de pointe contrairement à Brière a plus de chance ( selon moi ) de bien paraître et de nous faire mal , mais bon je peux me tromper aussi , ceci dit vu la mauvaise séquence qu'on vit et les blessures a nos 2 gardiens je suis pas super confiant pour demain mais bon au final ça se joue sa glace mon berni et tout est possible , devrait avoir une bonne ambiance demain


A noter qu'à partir de demain il faut être abonner à TVA sport pour regarder le match , fini la gratuitée

Bofff me suis tout de suite abonné moi....pas question de manquer un match de hockey lolll

C'est combien par mois ?? ( je suis abonner mais je sais pas le montant , lol )

ça dépend des cablo-distributeurs Black; moi il est compris dans mon forfait sport et j'ai Cogéco

j'sais pas non plus le montant, j'ai juste dit à ma femme que je le voulais

Moi j'ai Bell , à l'époque c'était les seuls a offrir nhl center ice , depuis ce jour j'ai la coupole sur le toit et j'ai jamais changer

Exactement comme moi Berni , c'est ma blonde qui s'occupe de ça , loll , ça prends la patience d'une femme pour attendre sa ligne et parler avec ses gens là , loll

Black21 a écrit:Exactement comme moi Berni , c'est ma blonde qui s'occupe de ça , loll , ça prends la patience d'une femme pour attendre sa ligne et parler avec ses gens là , loll

Criss mets-en; moi pas de patience pour ça pantoute loll

Parenteau: «Ce n'est pas Roy qui a inventé le hockey»

À moins d'un improbable et surprenant revirement de situation, il n'y aura sans doute pas de chaleureuse poignée de main samedi soir au Centre Bell entre Pierre-Alexandre Parenteau et Patrick Roy.

Parenteau, qui a passé les deux dernières saisons dans l'uniforme de l'Avalanche, va retrouver ses anciens collègues du Colorado pour la première fois en saison «régulière», ce soir au Centre Bell. Il va y retrouver aussi Patrick Roy, son ancien entraîneur, et celui qui a récemment fait savoir que le nouveau membre du Canadien n'était pas considéré comme un attaquant «top 6» dans le camp de l'Avalanche. D'où son échange en direction de Montréal cet été.

Quelques semaines plus tard, le principal intéressé a encore un peu de mal à bien comprendre cette déclaration de son ancien entraîneur.

«Il a droit à son opinion, et ça ne veut pas dire que je la respecte, a répondu Parenteau lorsque interrogé à ce sujet par La Presse. Son opinion, ce n'est pas la vérité. Ça, pour moi, c'est sûr que c'est une source de motivation. Aucun doute. Ce gars-là n'est pas Dieu, ce n'est pas lui qui a inventé le hockey non plus.»

L'attaquant de 31 ans jure que, malgré tout, il n'a pas été blessé par les commentaires de Patrick Roy, émis lors du camp d'entraînement, en septembre au Centre Bell. «Je sais qui je suis, je sais que je suis un attaquant «top 6» dans la Ligue nationale», a-t-il ajouté.

En ce début de saison en tout cas, c'est certes Pierre-Alexandre Parenteau qui a le dernier mot face à Roy et sa bande dans cette histoire.

En cinq matchs chez le Canadien, le voici déjà avec cinq points à sa fiche, lui qui a réussi ses deux premiers buts du calendrier «régulier» jeudi soir au Centre Bell, lors de la victoire de 6-4 face aux Bruins de Boston.

Pendant ce temps, Roy et ses patineurs de l'Avalanche du Colorado doivent se contenter d'un modeste début de saison, eux qui n'ont récolté que trois points en cinq rencontres.

Et alors que Parenteau retrouve de plus en plus ses repères dans son nouveau décor, c'est un peu plus difficile pour Daniel Brière, le joueur que le Canadien a dû offrir à l'Avalanche afin de conclure cette transaction à l'été. Comme le reste du club, Brière a un peu de mal à se mettre en marche, n'ayant récolté que deux points en cinq rencontres. Ce qui fait tout de même de lui le quatrième marqueur du club...

Peu importe, Parenteau ne voit pas le match de ce soir comme un moment spécial pour lui. Le passé est le passé, de toute évidence.

«La page est tournée... On passe à autre chose, c'est juste un autre match. C'est un match qui est plus important pour l'équipe que pour moi.»

Après avoir commencé la saison avec David Desharnais et Max Pacioretty à bord du premier trio, Parenteau a dû déménager en cours de route, et le voici maintenant qui s'élance aux côtés de Tomas Plekanec et Alex Galchenyuk, sur la deuxième unité montréalaise.

«Ç'avait bien été à Philadelphie [il y a une semaine], puis on n'avait pas joué un gros match [lundi soir] à Tampa Bay, a-t-il fait remarquer. Mais je dirais que ça va pas mal mieux depuis Tampa Bay. On sent qu'une forme de cohésion est en train de se créer entre nous.»

Il y a de bonnes journées et il y en a de moins bonnes. Pour la situation des gardiens de l'Avalanche du Colorado, celle de jeudi se classe dans la deuxième catégorie.
Et après ce jeudi de misère à Ottawa, où les gardiens 1 et 2 de l'équipe sont tombés au combat, Patrick Roy ne savait toujours pas, vendredi, qui sera son gardien pour le duel de ce soir contre le Canadien. Mais à la blague, il s'est exclu du débat.
«Je ne pense pas que ça serait une très bonne idée. Mais ça serait bon pour perdre du poids. Je serais serré dans mon masque!», a lancé l'entraîneur-chef de l'Avalanche du Colorado, après un entraînement tenu dans les installations du Canadien à Brossard.
Sur un ton plus sérieux, Roy a également exclu l'embauche de Martin Brodeur, toujours joueur autonome. «Non, ce n'est pas une option. Pas au moment où on se parle», a-t-il dit.
Un point d'interrogation
Récapitulons. Jeudi, après l'entraînement du matin, Semyon Varlamov se plaint de douleurs à l'aine et est placé sur la liste des blessés. L'Avalanche rappelle d'urgence Calvin Pickard pour qu'il agisse comme auxiliaire de Reto Berra.
À 2 min 46 s en première période, c'est au tour de Berra de se blesser, à la suite d'une collision. Arrivé à Ottawa environ trois heures avant le match, Pickard obtient donc son baptême de feu de la LNH, au cours duquel il accordera 4 buts sur 27 tirs dans un revers de 5-3.
Après la rencontre, l'Avalanche procède à un autre rappel en catastrophe, celui de Sami Aittokallio, pour qu'il seconde Pickard si Berra n'est pas prêt à jouer. Aittokallio, un Finlandais de 22 ans, a appris son rappel en fin de soirée et était debout à 3 heures du matin pour son vol Chicago-Montréal.
Berra ne s'est pas entraîné vendredi et devait être réévalué en après-midi. Sa présence contre le Canadien n'est toujours pas exclue. Mais s'il doit s'absenter, l'Avalanche se retrouvera donc avec 2 gardiens de 22 ans qui étaient tous deux dans la Ligue américaine 48 heures plus tôt.
Un peu comme si le Canadien disputait la rencontre avec Joey MacDonald et Mike Condon comme gardiens, à la différence que MacDonald a du vécu dans la LNH. Pickard n'a toujours pas amorcé de rencontre dans la LNH, et son auxiliaire en a amorcé une, qu'il n'a pas terminée.
«Idéalement, on aurait aimé avoir un troisième gardien comme Joey MacDonald, un gars d'expérience», a reconnu Roy.
Une autre tuile
Bref, avec un tel capharnaüm devant le filet, un réveil de l'attaque de l'Avalanche serait le bienvenu. Blanchie à ses deux premiers matchs, l'attaque vient à l'avant-dernier rang de la LNH avec 1,4 but par match. Tout ça au sein d'une équipe dont l'identité est d'abord et avant tout offensive. La fiche après cinq matchs: 1-3-1.
«Offensivement, on pourrait produire un peu plus, a reconnu Roy. Notre avantage numérique ne performe pas aussi bien. C'est beau travailler à l'extérieur, mais on devra amener plus de rondelles au filet.»
Individuellement, ça donne des situations assez incongrues. Matt Duchene, Jarome Iginla, Nathan MacKinnon, Ryan O'Reilly et Gabriel Landeskog totalisent, mis ensemble, trois buts. Landeskog n'a toujours pas de passe, si bien qu'il cumule un maigre point en cinq matchs.
Roy a souvent dit qu'il sentait que son équipe avait besoin d'un influx d'expérience, à la lumière de l'élimination rapide de son équipe la saison dernière. Il y a remédié en obtenant les vétérans Iginla et Daniel Brière au cours de l'été. Et c'est justement un message de calme qu'a relayé Iginla.
«Lors du dernier match, on a eu de bonnes chances de marquer, explique Iginla. Nathan volait sur la patinoire, on a frappé quelques poteaux, Landy [Landeskog] a marqué son premier, les joueurs commencent à marquer leur premier. Je crois que ça va commencer à rouler. L'attaque ne devrait pas être un problème ici. Cinq matchs, c'est un trop petit échantillon pour s'inquiéter.
«Il n'y a pas de vent de panique ici.»
Dans le vestiaire
Trop de matchs préparatoires
Appelé à expliquer le difficile début de saison de l'Avalanche, Patrick Roy a admis que les huit matchs hors-concours de son équipe ont peut-être nui à la préparation. «J'ai un regret. On a joué trop de matchs préparatoires. Pour une équipe qui voyage beaucoup, possiblement le plus dans la Ligue nationale, on jouera dorénavant six matchs à la place de huit pour avoir plus d'entraînements.» La convention collective de la LNH stipule que les équipes doivent jouer de six à huit matchs préparatoires par année. Et pour ajouter au manque d'entraînement, l'équipe de Denver dispute cinq de ses six premières rencontres à l'étranger.
Pickard, un nom familier...
Le nom de famille du gardien de l'Avalanche Calvin Pickard est associé dans la tête des amateurs de hockey junior à celui de Dustin Tokarski. En fait, Tokarski a formé un duo avec le frère de Calvin, Chet, au Championnat du monde de hockey junior de 2009, à Ottawa. Dans une proportion certes moindre que Price-Halak, il existait tout de même d'incessants débats Pickard-Tokarski. Mais Chet Pickard connaît aussi l'autre gardien du Canadien, puisqu'il a été l'auxiliaire de Carey Price chez les Americans de Tri-City, dans la Ligue junior de l'Ouest, de 2005 à 2007. Par l'entremise de son frère, Calvin Pickard a donc rencontré Price à quelques reprises à l'époque et connaît bien Tokarski pour l'avoir fréquemment affronté dans les rangs juniors.

Quand Parenteau aura révolutionné sa position comme l'a fait Roy et aura 4 bagues de la coupe aux doigts , alors il pourra se permettre se genre de réplique...

Pour l'instant,il ne passe que pour un épais...

Pas faux , beaucoup de rancoeur , c'était a lui a s'adapter au style de Roy et profiter des chances quand Roy lui en a donner parce qu'il en a eu

@MikeChambers: Calvin Pickard the starter at Montreal #Avalanche

Confirmer

@TVASports: Voyez l'entrevue de Patrick Roy avec José Théodore avant le match contre les @CanadiensMTL au Premier Trio [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

@ChantalMachabee: Les défenseurs #Avalanche:
Holden-Johnson;
Hejda-Barrie
Stuart-Guenin.

Holden sur la premiere pair , peut pas dire que j'aime ça

@MikeChambers: Rosters for tonight's #Avs-#Habs tilt at Bell Centre [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Black21 a écrit:Pas faux , beaucoup de rancoeur , c'était a lui a s'adapter au style de Roy et profiter des chances quand Roy lui en a donner parce qu'il en a eu

Combien de fois , message sur ce forum à l'appui, a t'on dit l'an dernier que Parenteau jouait mou et qu'il était invisible sur la glace et ce, lorsqu'il était sur le top 6??? En série, ce fut encore pire!!

Tsé,à un moment donné , faut se regarder dans le miroir aussi.

avsmaniac a écrit:Quand Parenteau aura révolutionné sa position comme l'a fait Roy et aura 4 bagues de la coupe aux doigts , alors il pourra se permettre se genre de réplique...

Pour l'instant,il ne passe que pour un épais...

Quand Roy aura pris de l'expérience comme coach dans la LNH il saura qu'il y a des choses qui ne se disent pas; excuses-moi mais il a passé pas mal plus pour un épais que Parenteau qui ne fait que lui répondre un peu comme tout le monde l'aurait fait.

Si tu as suivi l'Avalanche comme moi l'an dernier, tu a surement vu que Parenteau n'avait jamais rien fait,autant en saison qu'en série, pour s'attirer les faveurs de Roy. Et je vois pas ce qu'il y  avait d'épais à dire que l'Avalanche n'avait plus de place sur son top 6 pour Parenteau quand je regarde les deux premiers trios en ce moment...

Si  Parenteau avait été honnête, il aurait été le premier à avouer qu'il  jouait comme de la m... l'an dernier et au lieu de bêtement répliqué à Roy, devrait se concentrer à démontrer que ce n'était qu'une erreur de parcours.

Selon l'article Roy a dit que Parenteau n'était pas un joueur top 6 dans la LNH, pas que dans son club. Quant à l'Avalanche je pense bien que tu sais que je l'ai suivi presqu'autant que black et toi l'an passé; j'ai trippé sur ce club là. Ce que j'y ai noté c'était que Roy et Parenteau ça ne fitait pas ensemble tout comme Therrien et Brière. Je suis loin de trouver que Roy lui a vraiment donné sa chance et à voir cet échange verbal entre les deux hommes actuellement je crois comprendre pourquoi. Deux grandes gueules dans un club, quand l,un est coach ben c'est l'autre qui perd.

Oui, Roy fait de l'excellent boulot depuis qu'il est au Colorado mais svp faut se réveiller un peu, Parenteau a raison, ce n'est pas un Dieu et il peut arriver qu'il fasse des errerus....Parenteau en est une.

Roy c'est fait poser la question nombre de fois du pourquoi le trade de Parentau , il a jamais dit que c'était parceque c'était un mou avec une éthique de travail douteux et qu'il n'écoutais pas les directives du coach , il a plutôt toujours dit qu'il n'avait pas de place pour lui sur le top 6 avec les avs , voit pas ce qu'il a d'épais la dedans , il a plutôt été gentlemen

L'article est peut être trompeur , Roy a toujours parler de Parenteau avec les avs et non de la LNH , du moins je pense

L'article est trompeur. Va relire l'article original, Roy a dit que Parenteau n'avait plus sa place sur SON top 6,d'où l'acquisition de Brière qui lui fittait beaucoup plus sur un 3ième trio que Parenteau...

Et  Parenteau, plus souvent qu'autrement, jouait sur le top 6, blessure à Tanguay obligeait...Et même à ca Black, combien de fois avons nous dit ici qu'il était mou sur la glace???

Moi c'est pas la réplique que Roy n'est pas un Dieu qui m'énerve, c'est plutot de la personne de qui sa vient...

voici l'article en question Berni:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Dit moi ce qu'il a dit de mal dans cet article maintenant.

Avant de dire que le trade de Parenteau est une erreur donnons du temps au temps , Roy voulait pu rien de savoir de lui , vrai qu'on a pas eu grand chose mais faut pas oublier que les avs ont sauver 4 millions $$$ pour l'an orochain avec ce trade , chose pas négligeable et au final on peut reprocher à Roy le choix de Brière pour le retour mais faut croire que pas grand monde sait battu pour les services de Parenteau qui est " supposer " d'être un top 6 , pas tout les jours qu'un attaquant top 6 est disponible , pas eu grand surenchère pour ses services

Même dans l'article que j'ai mis je vois pas Roy dire que Parenteau est pas un top 6 nhl , c'est plutôt Parenteau qui laisse sous entendre que Roy a dit ça

Ryan O’Reilly a retenu une leçon importante quand il jouait dans les rangs pee-wee en Ontario.

Plus jeune, il ne recevait pratiquement jamais de conseils reliés au hockey de la part de sa mère, Bonnie. Son père, Brian, s’occupait principalement de cette responsabilité.

O’Reilly a dévoilé son secret derrière sa discipline monastique sur une glace de la Ligue nationale de hockey.

«Je me souviens qu’à l’âge de 12 ou 13 ans, j’avais reçu un bon coup de bâton d’un rival et je m’étais promis de me venger, a raconté le numéro 90 de l’Avalanche du Colorado quelques heures avant d’affronter le Canadien de Montréal, samedi. À ma présence suivante, je l’avais frappé avec un coup d’épaule à la tête. Ma mère avait piqué toute une colère à notre retour à la maison en voiture.»


«Elle m’avait boudé pendant quelques jours, a-t-il poursuivi. Elle ne comprenait pas pourquoi j’avais répliqué d’une façon violente. Honnêtement, elle ne se souciait pas vraiment du nombre de buts que je pouvais marquer, elle voulait surtout que je contrôle mes émotions. Je n’ai jamais oublié ce moment.»

Un gentilhomme

Le mot discipline rime maintenant avec O’Reilly.

L’an dernier, il a gravé pour une première fois son nom sur le trophée Lady Byng, décerné au joueur démontrant le meilleur esprit sportif tout en conservant des statistiques remarquables.

En 80 matchs au cours de la saison 2013-2014, le joueur de centre de 23 ans a amassé 64 points (28 buts, 36 aides) et il n’a passé que deux minuscules minutes au banc des punitions.

À ses cinq premières campagnes avec l’Avalanche, O’Reilly n’a jamais visité le cachot pour plus de 18 minutes en une saison. Il a des chiffres impressionnants à ce sujet avec deux minutes de punition en 2013-2014, quatre en 2012-2013, 12 en 2011-2012, 16 en 2010-2011 et 18 en 2009-2010.

Son record personnel est de 26 minutes. Ça remonte à sa deuxième année dans la Ligue de hockey junior de l’Ouest avec les Otters d’Erie.

«Je déteste me retrouver au banc des punitions, a-t-il dit en souriant. J’ai une théorie bien simple à ce sujet. Tu ne peux pas marquer un but quand tu te retrouves au cachot. Je trouve aussi qu’il n’y a pas un pire sentiment quand ton équipe se fait marquer en désavantage numérique après une de tes pénalités.»

Le bon positionnement

Patrick Roy a offert une explication logique au jeu discipliné de son attaquant.

«Ryan joue toujours à l’intérieur des règles du jeu, a d’abord répondu l’entraîneur-chef de l’Avalanche.

«Défensivement, il est toujours en bonne position et il n’a pas besoin d’accrocher un rival pour récupérer le jeu. Sa bonne lecture du jeu lui permet aussi de se tenir loin du banc des punitions.»

Au premier coup d’œil, O’Reilly a plus le look d’un méchant garnement avec sa grosse barbe et son sourire édenté. Mais, les apparences sont souvent trompeuses...

En cinq parties depuis le début du calendrier régulier, O'Reilly a obtenu deux points (1 but, 1 aide) et il a toujours un zéro dans la colonne des minutes de punition.

MONTRÉAL | Alex Tanguay a un objectif cette saison: se tenir loin de l’infirmerie. Miné par des blessures à un genou et à la hanche l’an dernier, il a endossé l’uniforme de l’Avalanche pour seulement 16 rencontres.

« L’an passé, je me sentais comme un passager, je regardais mes coéquipiers des lignes de côté », a raconté Tanguay.

Depuis le début de l’année, Tanguay a renoué avec l’action. Il a participé à tous les matchs de son équipe cette saison. Il n’a toutefois pas dressé un bilan très positif de son départ.

« J’ai un début de saison ordinaire, a-t-il affirmé. Heureusement, Patrick (Roy) me fait confiance et j’ai un bon temps d’utilisation. Je m’attendais à vivre une période de rodage. Je n’ai pratiquement pas joué l’an dernier et il y a deux ans, c’était l’année du lock-out. Je n’ai pas beaucoup de matchs dans le corps depuis deux ans avec seulement 56 rencontres.»

Avant la visite à Montréal, Tanguay n’avait marqué qu’un but en cinq rencontres.

« Je me sens de mieux en mieux et le plus important, c’est que je n’ai pas de bobo, a-t-il dit. Je sais que je peux encore bien jouer dans cette ligue. J’ai juste 34 ans. Je ne suis pas en mode panique. Offensivement, je dirais que c’est difficile pour toute l’équipe. »

Aux côtés de Brière

À sa deuxième saison sous les ordres de Roy à Denver, Tanguay aura la chance de jouer avec un autre vétéran établi dans cette ligue. Et un autre ancien du Canadien, Daniel Brière.

Autant lui que Brière chercheront à replacer leur carrière sur le bon chemin.

« Personnellement, tu as toujours une grande fierté et tu veux toujours à jouer à la hauteur de ton talent, a souligné Tanguay. Je sais que Daniel a connu une saison difficile l’an dernier à Montréal. De mon côté, je jouais bien avant de me blesser l’an dernier. »

En ce début de saison, Tanguay et Brière ont joué quelques matchs avec Nathan MacKinnon. Depuis le passage de l’équipe à Toronto, ils complètent un trio avec John Mitchell, un joueur beaucoup moins offensif que le prodige MacKinnon !

Pas d’animosité

Dans un autre coin du vestiaire de l’équipe des visiteurs au Centre Bell, Brière a parlé pour une énième fois de son court séjour à Montréal. Toujours aussi poli et respectueux, le petit attaquant de 37 ans s’est tenu très loin d’une guerre de mots avec son ancienne équipe.

« Honnêtement, les matchs émotifs contre le Canadien, je crois que ça fait plus partie de mon passé. Je trouve toujours ça agréable de revenir jouer à Montréal. Pour tous les Québécois, il s’agit d’un beau moment quand tu te retrouves sur la glace du Centre Bell. »

« Il n’y a aucune rancœur envers le Canadien, a-t-il enchaîné. J’ai été bien traité par l’organisation et j’ai encore plusieurs amis au sein de l’équipe. Je n’ai pas de comptes à régler. »

avsmaniac a écrit:voici l'article en question Berni:

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C'est clair qu'il n'a rien dit de mal là-dedans. Probablement que ses propos ont été rapportés tout croche à Parenteau. Tk si on lit l'article posté par black ici c'est trompeur mais bon.....un journaleux a dû demander cette question à Parenteau: " Que penses-tu du fait que Roy ait dit que tu n'étais pas un top 6? ". Et c'est là que Parenteau a donné sa réponse. Donc au final, ni un ni l'autre est épais; c'est plutôt les journalistes qui nous prennent pour des épais.

@hockey360: L'Avalanche a une fiche de 14-5-3 contre le Tricolore depuis le déménagement des Nordiques au Colorado. #Nostalgie #RDSCH

Pas beau

Frustrant surtout black...

Aussi

1-4-1...pas le genre de début de saison que je m'attendais...

C'est tu ce qui fait le plus mal Black? C'est qu'avec un peu plus d'opportuniste et moins de crampe au cerveau, la fiche de l'Avalanche pourrait être de 5-1-0...

Ouin mais reste que comme l'an passée on donne beaucoup trop de tirs et de chance de marquer à l'adversaire , forcer d'admettre aussi que la perte de Stasny fait beaucoup plus mal que prévue , son trios avec Landy et Mackinnon était fort dominant et la chimie était au rendez vous , en plus avec son départ Roy a enlever Oreilly d'avec Duchene qui pourtant ont été un des très bon duos l'an passée , aussi très déçu de Stuart , Holden et Guenin sont pas mal moins impressionnant que l'an passée, disons que je voie pas beaucoup de positif et pas mal désabusé du début de saison , ça va prendre 2 à 3 victoire de suite pour me crinquer

Rick Pracey n'est plus un employer des avs

@NHLonNBCSports: Report: Colorado says no thanks to Bryzgalov [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

@MLalancetteTVA: Joe Sakic a congédié le recruteur-chef de l'@Avalanche Rick Pracey. Qui va le remplacer? Pourtant lié aux Duchene, Landeskog et MacKinnon.

Bonne question , drôle de move

Pourtant lié aux Duchene, Landeskog et MacKinnon.

Pas de besoin d'être un recruteur chef élite pour repêcher ces trois noms. Pracey doit aussi être lié à d'autres noms ( des 3,4 et 5ièmes tour ) qui selon Sakic ne progressent pas suffisamment aux yeux de l'état-major de l'Avalanche.